Luise Ulrike von Preußen (1720-1782)
Portrait en héliogravue
Bildquelle: O.-G. de Heidenstam: Une sœur du grand Frédéric, Louise-Ulrique, Reine de Suède. Paris : Plon, 1897.
Die fünfte der sechs Schwestern Friedrichs des Großen und nachmalige Königin von Schweden hatte von 1742 bis zu ihrem Weggang nach Schweden im Jahr 1744 regelmäßigen Kontakt mit d’Argens, über den sie in ihren 1910 von Fritz Arnheim herausgegebenen Briefen berichtet. Durch sie sind wir detailliert über das Verwürfnis d’Argens’ mit der Herzogin von Württemberg informiert. Sie war aber auch eine interessierte Leserin seiner Werke und äußert Besorgnis darüber, dass d’Argens’ Beziehung zu der Schauspielerin Cochois seinen schriftstellerischen Elan zum Erlahmen bringt. D’Argens schrieb für sie sein wohl einziges Theaterstück, das von ihr mit dem Titel L’Embarras de la cour versehen wurde. Im November 1744 schrieb sie aus Stockholm an ihre Mutter:
« On m’a envoyé une nouvelle production du marquis d’Argens: Le galimatias. Ode. [= Le Galimathias : ode par un inconnu. Avec les commentaires d'Antonius Flagellus. - La Haye, 1744]. J’avoue qu’il me semble que le livre répond fort bien au titre, car je n’ai jamais pu comprendre ce qu’il a voulu dire. On m’a dit qu’il s’était brouillé avec un bel esprit de Berlin. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour savoir son nom, mais jusqu’ici je n’ai pu l’apprendre. Je ne suis informée que par ses Lettres écrites à un Hollandais du sujet de la dispute. » |