Marie-Catherine Cadière (1709 - ?)
Bildquelle: Histoire du Père Jean-Baptiste Girard, Jésuite & Recteur du collège de la Marine à Toulon, et de Damoiselle Marie Caterine [!] Cadière. Divisé en 32 planches ; contenant les faits principeaux [!] mentionés [!] au Procès suivant les Factum imprimés par Gissey de Bordelet. A Paris, s.d. (Hollande ? 1735). Privatsammlung.
Der Jesuitenpater Girard war 1731 von seiner Beichttochter Marie-Cathérine Cadière der 'Verführung im Beichtstuhl' und späterer Anstiftung zur Abtreibung beschuldigt worden. Obwohl sich andere weibliche Beichtkinder des Paters den Anschuldigungen anschlossen, wurde er am 10. Oktober 1731 in Toulon freigesprochen. In dem Prozess, der damals die gesamte europäische Öffentlichkeit aufwühlte, vertrat d’Argens' Vater die Anklage. Der Marquis d’Argens selbst war als Zuschauer zugegen und berichtet in seinen 1735 erscheinen Memoiren und an etlichen anderen Stellen in seinem Werk ausführlich über das Prozessgeschehen. Die Girard-Cadière-Affäre bildet die Folie des 1748 anonym erschienenen Romans Thérèse philosophe, der dem Marquis d'Argens zugeschrieben wird.
Cf. Conclusions de Monsieur le procureur général du roy au Parlement d'Aix, du 11 septembre 1731 : au sujet du procès d'entre le P. Girard, jésuite, Catherine Cadière, le P. Cadière, dominicain, le prêtre Cadière et le P. Nicolas, carme déchaussé [signé Boyer d'Aiguilles]
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