Michel Eyquem Seigneur de Montaigne (1533-1592)
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D’Argens wurde von Voltaire schmeichelnd attestiert, im Geiste Bayles und im Stil Montaignes zu schreiben. Tatsächlich schätzte d’Argens den Verfasser der Essais besonders. In der Histoire de l’esprit humain (Bd. III, Berlin : Haude et Spener, 1765, S. 210 ff) schreibt er : « Dans le tems que tous les Philosophes sembloient être beaucoup plus occupés à commenter les ouvrages d’Aristote, qu’à rechercher la vérité : et que la Philosophie Péripatéticienne avoit autant de crédit que la Religion, les Ouvrages du Philosophe Grec allant presque de pair avec les Livres sacrés, un sage Pyrrhonien osa le premier s’opposer à la prévention publique. Montagne, Gentil-Homme françois, vainquit les prejugés. » Neben Montaignes ‘Pyrrhonismus’ ist für d’Argens auch von Bedeutung, dass dieser « a essuyé, long-tems après sa mort, toute la mauvaise humeur des Jansénistes ». – « A la vérité ses ouvrages n'en sont que plus estimés & plus courus; pendant que la critique, qu'en ont faite ses adversaires, seroit à peine connue, si la préface des dernieres éditions de ses Essais n'en avoit renouvellé la mémoire. » (Lettres juives, éd. La Haye 1764 t. 5 p. 301 (Lettre 149))
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